Après quelques belles envolées dont un tableau de Charles Camoin acheté 77 000 € (sans les frais de plus de 20%), ou la toile " Une jeune femme dénudée aux iris " de Jean Goulinat qui partait à 10 fois l'estimation la plus haute ; mais aussi quelques œuvres ne trouvant pas preneur, c'est en fin de journée qu'était proposé à la vente une partie du mobilier de jardin de la Villa Cavrois.
Il s'agissait de plusieurs pièces qui n'avaient pas trouvé preneur, il y a juste 30 ans, lors de la vente à Monaco chez Sotheby's en avril 1987. Il en fut de même en 2017.
La page 69 du catalogue où figure le mobilier de Robert Mallet-Stevens
Le Centre des Monuments Nationaux nous avait fait savoir qu'il ne souhaitait pas enchérir, d'autant que du mobilier de jardin venait depuis quelques jours de réintégrer la Villa Cavrois, suite à un don familial en provenance de Christophe Cavrois.
On devine au fond de la salle, tournant le dos aux acheteurs, ces éléments du mobilier dessinés par Robert Mallet-Stevens, au milieu d'un capharnaüm de sièges en tout genre.
Mis à prix en dessous du prix estimé, à 2 000 €, il n' y a eu aucun preneur.